Re: [cameroon_politics] CAN YOU BELIEVE THIS SHIT?????...Cameroun - Commercial Bank of Cameroon: Lettre ouverte de Yves Michel Fotso à l'Assemblée du PersonnelMENYE BRAQUE LA CBC

On 12/16/13, Ofege Ntemfac <ntemfacnchwete@gmail.com> wrote:
> Cameroun - Commercial Bank of Cameroon: Lettre ouverte de Yves Michel
> Fotso à l'Assemblée du Personnel
> Click to jump to 'Mutations'
> Yaoundé, 13 Décembre 2013
> © Mutations
> 17 Réactions
> Le PCA en détention au Secrétariat d'Etat à la Défense rompt le
> silence sur la crise en cours à la CBC.
> E-Mail Imprimer Réagir Bookmark and Share
> Mesdames et Messieurs, personnel de la CBC,
>
> Les derniers événements survenus le lundi 9 décembre dernier, où
> l'Administrateur Provisoire - qui s'est approprié la banque depuis
> plus de quatre ans, - a décidé avec le concours du Ministre des
> Finances agissant en qualité d'Autorité Monétaire d'expulser manu
> militari certains actionnaires de la réunion d'assemblée générale, et
> compte tenu des accusations diverses et injustes dont je fais l'objet,
> tant par les pouvoirs publics pour détournement de deniers publics que
> de spoliation de la CBC, m'obligent à vous rappeler certains faits. Je
> souhaite vous aider à voir claire et dégager ma responsabilité sur les
> risques qui pèsent sur vos emplois après la décision irresponsable de
> l'équipe dirigeante actuelle et du Ministre des Finances, avec l'appui
> de la Cobac, de déposséder les actionnaires historiques et
> majoritaires (camerounais et étrangers) de la CBC, sans mesurer les
> conséquences de leurs actes tant sur l'avenir même de la banque que
> sur l'image du pays.
>
> Lorsque en octobre 2010 dans un mémo adressé à la Cobac, je proposais
> un plan de restructuration alternatif à celui de l'administrateur
> provisoire en offrant d'être subrogé à toute une série de débiteurs à
> hauteur de plusieurs Milliards de Fcfa, je pensais encore à cette
> époque que le vrai but de l'organe de régulation et de l'Etat
> camerounais était de protéger l'établissement bancaire dont de l'avis
> de tous, la rentabilité était évidente. Ma seule exigence à cette
> période-là était de permettre aux actionnaires historiques, dont je
> fais partie, de conserver la totalité de leurs actions et de reprendre
> la présidence du conseil d'administration, dont j'avais été dépossédé
> provisoirement par la nomination d'un administrateur dont le mandat
> était, comme son nom l'indique, par définition censé être provisoire.
>
> Mes propositions pourtant inédites pour quelqu'un accusé d'avoir
> précipité la banque dans cette situation, furent purement et
> simplement rejetées par l'administrateur provisoire soutenue en cela
> par M. Lazare Essimi Menye, minsitre des Finances jusqu'en décembre
> 2011.
>
> Dans le même temps, ayant multiplié des contacts avec de potentiels
> partenaires et investisseurs, j'ai également soumis les manifestations
> de fort intérêt de plusieurs institu¬tions bancaires pour, non
> seulement l'apport des garanties pouvant permettre le rétablissement
> immédiat du respect des ratios bancaires, mais également pour y
> injecter d'importants capitaux en fonds propres (Qatar Islamic Bank,
> NSIA BIAO et la Banque Tunisienne). Rien n'y a fait, ni
> l'administrateur provisoire, ni la Cobac, ni même l'Etat camerounais
> saisis au niveau des plus hautes autorités n'ont voulu y donner suite,
> certainement parce que je restais dans le capital et que ce n'était
> pas des repreneurs de leur choix qui prendraient le contrôle de la
> CBC.
>
> Mon passeport m'a été retiré 8 jours après mon audition par la Cobac
> et j'ai été privé de liberté le 1er décembre 2010, cette situation
> réduisant, bien évidemment, ma marge de manœuvre à sa plus simple
> expression. J'ai cependant tout fait jusqu'à l'assemblée générale
> illégalement tenue du 10 mai 2012, pour éviter une réduction
> injustifiée du capital dont le seul objectif était clairement
> l'éviction des actionnaires d'origine et de les empêcher de jouir de
> leurs droits préférentiels de souscription liés à l'augmentation de
> capital illégalement décrétée.
>
> Certains au niveau du pouvoir exécutif ont prétendu que c'était ma
> lettre ouverte à M. Amadou Ali, alors Ministre de la Justice, clamant
> publiquement mon innocence par rapport au lynchage médiatique dont
> j'étais l'objet tant par rapport à l'achat avorté du BBJ-2
> présidentiel, que dans de présumés détournements des fonds de la
> Camair, qui avait justifié mon arrestation par le Garde des Sceaux qui
> estimait que je le narguais alors qu'il détenait des "preuves
> irréfutables" des détournements dont j'avais été le bénéficiaire. Or,
> aujourd'hui malgré les violations flagrantes des droits de l'accusé et
> de la présomption d'innocence à laquelle j'avais droit, et après un
> procès fleuve en mi-2012, nul ne peut désormais ignorer que la justice
> a été manipulée et que non seulement l'affaire BBJ-2 (avion
> présidentiel) avait déjà été jugée aux Etats-Unis, mais surtout comme
> l'a déclaré publiquement l'avocat de l'Etat, le Cameroun a été
> dédommagé.
>
> De même pour ce qui est des accusations relatives à ma gestion de la
> Camair du 21 juin 2000 au 03 novembre 2003, après avoir été pendant de
> nombreuses années jeté en pâture à la vindicte populaire, accusé du
> détournement de 89,3 milliards de Fcfa, j'ai depuis le 14 août 2013
> signé un Protocole d'accord transactionnel ayant autorité de la chose
> jugée, avec la Liquidation de la Camair qui démontre sans équivoque
> que je n'ai jamais détourné le moindre franc de la Camair.
>
> De ce fait, il est évident que ma lettre ouverte à Amadou ALI en
> novembre 2010 avait été rédigée avec le réel sentiment d'un innocent
> injustement livré à la vindicte populaire, tant pour l'affaire BBJ-2
> (avion présidentiel) que pour celle liée à ma gestion de la Camair.
>
> Pour en revenir A la CBC, bien qu'injustement embastillé, j'ai
> continué A tout tenter pour rétablir ses ratios bancaires, mais toutes
> mes propositions de 2011 à juillet 2013 visant à permettre des
> reprises de provisions excluant de facto la nécessité de réduction de
> capital ont été rejetées par l'administrateur provisoire, la Cobac et
> le Ministre des Finances agissant en qualité d'Autorité Monétaire.
>
> Même l'offre de reprise du Groupe des Émirats Arabes Unis ILDC, qui
> après un due diligence en 2012 a confirmé son offre en produisant une
> lettre de la Deutsche Bank confirmant la disponibilité de 100 millions
> de dollars destiné au projet de reprise de la CBC, n'a obtenu
> l'assentiment ni de l'administrateur provisoire, ni de l'Etat
> camerounais malgré de multiples relances des investisseurs, le
> problème étant que sans réduction du capital, je restais, à travers
> les actionnaires historiques et majoritaires de la CBC, indirectement
> dans le capital de la CBC et cela il n'en était pas question. Vous
> vous rappellerez sans doute que déjà en décembre 2009, l'ancien
> Ministre des Finances avait, suite à la nomination de l'administrateur
> provisoire, crié publiquement à la radio victoire en proclamant que la
> banque «n'appartenait plus aux Fotso»!
>
>
> C'est donc avec ce dernier événement du lundi, 9 décembre 2013, après
> le silence par rapport à la dernière offre formulée par CFHL
> directement au gouvernement camerounais au travers du Ministre des
> Finances stipulant, à contrecœur et uniquement dans un but de trouver
> rapidement une issue transactionnelle à un imbroglio qui avait trop
> duré, l'acceptations par les actionnaires historiques et majoritaires
> de la CBC d'une réduction du capital à hauteur de 60% avec un apport
> de garantie pour couvrir plus de 60% des lourdes provisions
> constituées à la va-vite - que j'ai compris qu'en fait ils
> (l'Administrateur Provisoire, la Cobac et le Ministre des Finances)
> n'accepteront jamais aucune solution qui permettrait de sauver le
> capital initial de la majorité des actionnaires historiques.
>
> Aujourd'hui, avec la décision de l'actionnaire de référence de la CBC,
> la CFHL, société de droit luxembourgeoise, de faire jouer le traité
> bilatéral en matière de promotion et la protection réciproques des
> investissements entre le Luxembourg et le Cameroun, le Centre
> international pour le règlement de différends relatifs aux
> investissements (CIRDI), un tribunal arbitral international et
> indépendant constitué sous l'égide de la Banque Mondiale
> (Washington/Paris) la société CFHL peut avoir toute confiance que les
> basses manœuvres de l'Administrateur Provisoire et du Ministre des
> Finances, dont la complicité avec les agissements frauduleux de
> l'Administrateur Provisoire ne, font plus aucun doute, seront jugés
> conformément aux principes du droit international: Toute expropriation
> doit donner lieu à compensation. L'expropriation des actionnaires
> historiques de la CBC par l'Etat du Cameroun coûtera très cher à notre
> pays. Le coût assumer une fois de plus par les contribuables de l'Etat
> Camerounais reflétera la cupidité de ceux que la Cobac et le Ministre
> des Finances ont laissé agir, non pas dans l'intérêt de la CBC, mais à
> des fins purement personnelles.
>
> Je souhaite que vous, les employés de la CBC, soyez dès aujourd'hui
> parfaitement édifiés sur le rôle de tout un chacun et notamment sur
> celui de Martin Luther Njanga Njoh, l'Administrateur Provisoire, qui a
> orchestré, avec la complicité du Ministre des Finances, cette arnaque.
> Vous trouverez ci-dessous après de minutieuses investigations et
> recherches, les réelles motivations de votre administrateur
> provisoire. Les pièces annoncées en annexes sont disponibles sur
> simple demande du personnel qui le souhaite.
>
> Salaire mensuel net octroyé par la Cobac de Fcfa 15.000.000 soit Fcfa
> 180.000.000 annuel ponctionné, pour un seul dirigeant, sur le compte
> de résultat d'une banque dite en difficulté. Par ailleurs, avantages
> divers (en nature: logement, gardiennage, eau, électricité, véhicules,
> scolarité...) d'un coût de Fcfa 6.500.000 mensuel, soit Fcfa
> 78.000.000 annuel, Pièce n°1, tableau des plus gros salaires de la
> CBC. Soit un revenu global annuel pour M. Njanga Njoh de Fcfa
> 248.000.000, alors que celui-ci n'a jamais occupé de poste de
> direction générale dans une quelconque banque ou institution
> financière.
>
>
> 1. De plus, au moment de sa nomination en 2009 il dirigeait sa propre
> société d'assistance dans les domaines bancaires et financières, audit
> et gestion des risques", le Cabinet Njanga Njoh Consulting (CNN
> Consulting) dont le chiffre d'affaires déclaré pour 2008 était de Fcfa
> 15.000.000 et néant pour 2009, 2010, 2011 et 2012, Pièce n°2,
> immatriculation au registre du commerce, Patente et attestation
> d'exonération de patente.
>
> 2. Ainsi, en 2009 en considérant que le bail des locaux de CNN
> Consulting logé au domicile de Mme Ngomeni Antoinette (épouse de M.
> Njanga Njoh) est fictif (Pièce n°3, Plan et attestation de
> localisation), on peut considérer que sur un chiffre d'affaires de
> FCFA 15.000.000 en 2009, M. Njanga Njoh a pu s'octroyer un salaire net
> mensuel maximum de FCFA 300.000 soit Fcfa 3.600.000 pour l'année
> (Pièce n°4, Attestation de non utilisation du personnel Cnps). Si on
> rapporte cela à ce qu'il coûte actuellement à la CBC, ceci représente
> pour celui-ci un gain pour chaque année passée à la tête de la CBC en
> tant qu'administrateur provisoire équivalant à soixante-huit (68) ans
> de salaire chez CNN Consulting. M. Njanga Njoh expert sans aucune
> référence, ni revenu, a ainsi donc, avec la complicité de la Cobac et
> du Minfi, Monsieur Lazare Essimi Menye, hélas confirmé par son
> successeur Monsieur Alamine Ousmane Mey, distrait des caisses de la
> CBC de novembre 2009 à novembre 2013 à son profit une somme d'au moins
> FCFA 248.000.000 x 4 = FCFA 992.000.000 ( Neuf cent quatre-vingt-douze
> millions de Fcfa), qui pour lui correspondent 275 ans de salaire de sa
> société CNN Consulting (Pièce n°5, Déclarations Statistique et
> Fiscale(DSF).
>
> 3. Ainsi, vous comprendrez peut-être mieux la première raison pour
> laquelle M. Njanga Njoh a rejeté toutes les solutions proposées pour
> la restructuration de la CBC (Qatar Islamic Bank en octobre 2010, NSIA
> BIAO en octobre 2010, Banque Tunisienne en novembre 2010, Groupe ILDC
> en mars 2012), Pièce n°6, Offres de recapitalisation des différents
> investisseurs dans la restructuration).
>
> 4. Pour ce qui est de la seconde raison, elle se décompose en deux
> faits, le premier est celui qui consiste à payer des sommes
> faramineuses, plus de Fcfa 500.000.000 (Cinq cent millions) à deux
> avocats (Pièce n°7, justificatifs règlements aux deux avocats). Ceci,
> une fois de plus en 'accord avec l'ancien Ministre des Finances, M.
> Lazare Essimi Menye, sommes qui ont donc été partagées entre Me Irenée
> Ntamack Pondi et Me André-Marie Owono pour des dossiers qui ne
> souffraient d'aucune contestation des récipiendaires des fonds, savoir
> Monsieur Claude Juimo Monthé pour 7 milliards et Monsieur Chehanazé
> Hazim Hazim pour 11 milliards. La rédaction du protocole pour le
> premier et la signature d'un accord pour le second ont donc coûté des
> centaines de millions de Fcfa à la CBC avec le bienveillant accord de
> Mr Martin Luther Njanga Njoh.
>
> 5. Le second fait est celui relatif aux conditions de remboursement
> accordées à M. Hazim, l'administrateur provisoire a ainsi, on ne sait
> trop en échange de quoi (!), validé le remboursement des 11 milliards
> dus par M. Hazim sur une période de dix (10) ans avec un taux
> d'intérêts dérisoire défiant l'entendement.
>
> Dans le même temps, parce qu'un accord aurait décharge Yves Michel
> FOTSO d'un important pan des plaintes déposées contre lui au TGI chi
> Mfoundi, M. Njanga Njoh a refusé la proposition de M. Célestin Tawamba
> de remboursement avec des garantis bien plus importantes que celles de
> M. Hazim de 7,9 milliards sur six (06) ans à un taux d'intérêts de 7%
> l'an (Pièce n°9, Offre de remboursement de M. Tawamba, confirmation de
> la crédibilité de l'offre, mais rejet par l'Administrateur
> Provisoire).
>
> Il en est de même pour les propositions d'apurement de M, Yves Michel
> Fotso et CFHL prenant à leurs comptes des concours pour lesquels ils
> n'étaient pourtant pas les bénéficiaires des crédits et dont la banque
> ne dispose pourtant pas de garantie, niais dont M. Njanga Njoh savait
> qu'en cas de concrétisation, la restructuration serait quasiment
> achevée et sa présence à la tête de la banque deviendrait sans objet.
> C'est la raison pour laquelle il s'est toujours arrangé à faire
> échouer toutes négociations clin risquait de compromettre sa pérennité
> à la tête de la CBC ou qui ne lui garantirait pas un intérêt direct
> (Pièce n°10, Offre d'apurement' de créances par CFHL et de Yves Michel
> Fotso)
>
> 6. Monsieur Njanga Njoh attribue aux actionnaires majoritaires de la
> CBC la responsabilité pour le non recouvrement des créances
> compromises sur lesquelles lui, l'Administrateur Provisoire, avait
> seul un total contrôle d'acceptation ou non des offres d'apurement,
> mais dont il s'est bien gardé de faire mention ou usage afin de
> maintenir artificiellement élevées, les pertes au bilan et ainsi
> justifier la mise et le maintien sous administration provisoire de la
> CBC depuis quatre (04) ans. Le maintien jusqu'alors de la CBC, sous
> administration provisoire lui a permis depuis novembre 2009 de générer
> personnellement un revenu d'environ un (01) milliard de FCFA, comme
> ci-dessus argumenté au point 1).
>
>
> 7. Le refus de l'Administrateur Provisoire de finaliser les accords
> d'apurements avec plusieurs débiteurs représentants près de 70% du
> portefeuille provisionné, M. Njanga Njoh ne souhaitant pas prendre le
> risque de signer prématurément ces accords qui prouveraient a la Cobac
> et au Ministre des Finances en sa qualité d' Autorité Monétaire une
> amélioration du bilan. Car celle-ci entraînait non seulement la remise
> il cause et en fait caducité de son plan de restructuration, mais
> laissait également planer de graves doutes sur la pertinence et les
> conditions de la mise sous administration provisoire de la banque en
> novembre 2009. En effet, alors que certains débiteurs ont obtenu et
> signe un protocole d'accord avec M. Njanga Njoh, celui-ci ne l'a pas
> fait apparaître au bilan avec la complicité manifeste des Commissaires
> aux Comptes (en l'occurrence, la branche locale de Deloitte et Ernst
> Sc Young).
>
> Par ailleurs, d'autres débiteurs de la CBC ont sollicité en vain
> l'élaboration d'un protocole d'accord d'apurement de leurs dettes,
> dont :
>
> (T.O.Design, SCGIP et STS) un accord d'apurement a été trouvé avec
> l'homme d'affaire libanais Monsieur Hazim Hazim pour une dette de FCFA
> 11 milliards mais transaction cachée aux actionnaires et non traduit
> dans les comptes 2012 avec la complicité nécessaire des Commissaires
> aux Comptes précités ;
>
> (Sté Financière et Commerciale et Gulf Constructors) un accord
> d'apurement a été passé sous la houlette de l'homme d'affaire Monsieur
> Monthé pour une dette de Fcfa 8,2 milliards mais protocole caché aux
> actionnaires et non traduit dans les comptes 2012 avec la complicité
> des Commissaires aux Comptes ;
>
> (Ste Ingénierie Forestière) un accord d'apurement passé sous la
> houlette de l'homme d'affaire Monsieur Franck Emmanuel Biya pour une
> dette de Fcfa 3,1 milliards mais protocole caché aux actionnaires et
> non traduit dans les comptes 2012 avec la complicité des Commissaires
> aux Comptes
> (TPTD et A.M.1) recherchent en vain un accord d'apurement sous la
> houlette de l'homme d'affaire camerounais Monsieur Tawamba pour une
> dette de Fcfa 7,9 milliards ;
>
> (Archidiocèse de Yaoundé) sous la houlette personnelle de l'ancien
> Archevêque Métropolitain, recherche d'un accord d'apurement pour une
> dette de Fcfa 3,1 milliards.
>
> Et enfin un ensemble de onze (11) créances pour lesquelles un accord
> d'apurement a été recherché en vain sous mon impulsion directe pour
> une somme globale de Fcfa 12,8 milliards.
>
> La multiplication par Mr Njanga Njoh des prétextes pour éviter de
> conclure les conventions ci-dessus listées ou de cacher aux
> actionnaires celles qui ont été finalisées avant la mise en action de
> son plan de restructuration décrié par les actionnaires (Pièce n°11,
> Plan de restructuration de M. Njanga Njoh présenté à l'assemblée
> générale de mars 2013 et dissimulant dans les provisions les accords
> passés avec M. Juimo Monthé, la Société Ingénierie Forestière et M.
> Hazim Hazim, soit environ Fcfa 23 milliards en moins de créances
> douteuses !), a conséquemment retardé les reprises de provisions sur
> un ensemble d'au moins vingt (20) créances dites compromises
> représentant un total en valeur brute de Fcfa 44,8 milliards soit
> 69,1% des vingt-deux (22) créances dites compromises pour un total en
> valeur brute de Fcfa 64,1 milliards (Réf. plan de restructuration
> ???).
>
> Si on devait ajouter à ces créances, dont les débiteurs directs ou
> indirects, ont sollicité en vain de l'Administrateur Provisoire une
> convention d'apurement, celles dont les provisions ne se justifient
> pas, savoir :
>
> -GIE Commercial Bank pour FCFA 285 millions,
>
> -CBGE pour Fcfa 6,4 milliards,
>
> -FCP pour FCFA 7,2 milliards,
>
> Soit un total de FCFA 14 milliards, alors que les provisions réelles
> ou pertes réelles au 31 décembre 2012 et donc en conséquence le
> montant à transférer à la Société de Recouvrement des Créances
> n'aurait dû être supérieur à (71,4 - 44,8 - 14 =) FCFA 12,6 milliards
> contre Fcfa 53,1 milliards du plan de restructuration imaginé par
> Martin Luther Njanga Njoh, et pour lequel la Cobac et le Ministère des
> Finances en sa qualité d'Autorité Monétaire ont, contre tout
> entendement, donné leur aval.
>
> 1.L'Administrateur Provisoire dans son plan de restructuration a
> programmé la perte totale des parts du capital des actionnaires
> historiques et majoritaires et a fait adopter le 10 mai 2012 par à
> peine le tiers des actionnaires cette résolution consistant à amener
> ces derniers à se faire "hara-kiri" (se suicider). Car à l'issue de la
> réduction de capital, très peu d'actionnaires seraient disposés, dans
> les délais impartis, à débloquer les sommes nécessaires la nouvelle
> augmentation du capital, même avec l'illégale suppression des droits
> préférentiels de souscription.
>
> L'élément qui viendra contrecarrer les objectifs de l'Administrateur
> Provisoire est l'information de l'ouverture de négociation entre
> Monsieur Yves Michel Fotso et la République de Guinée Équatoriale pour
> le dédommagement de Fcfa 50 milliards en relation avec l'échec
> d'implantation de la CBGE en Guinée Equatoriale. A titre de rappel, la
> CBGE avait obtenu en mai 2009 une sentence arbitrale à l'encontre de
> la République de Guinée Equatoriale, condamnant celle-ci à verser des
> dommages et intérêts. Cette sentence a été validée tant par la Cour
> d'Appel de Paris que par la Cour de Justice et d'Arbitrage de l'Ohada
> à Libreville.
>
> Dans un souci d'apaisement et pour mettre un terme définitif à un
> conflit vieux de plusieurs années, j'avais accepté, à la fin de
> l'année 2012, de signer un protocole transactionnel, au nom de la
> CBGE, et en mon propre nom, avec la République de la Guinée
> Equatoriale, et ce avec la bénédiction de S.E. M. le Président Obiang
> Nguema Basogo.
>
> Dès lors, l'Administrateur Provisoire mettra tout en œuvre pour, à
> défaut d'empêcher le paiement de la République de ''Guinée
> Equatoriale, de le retarder par foutes les mesures dilatoires
> possible. C'est ainsi que l'Administrateur Provisoire sollicitera en
> janvier 2013 du Ministre des Finances de déposer une plainte contre
> Yves Michel Fotso demandant au tribunal que soit opérée une saisie
> conservatoire entre les mains de la République de Guinée Équatoriale
> (Pièce n°12, Requête de M. Njanga Njoh pour une plainte contre moi et
> saisie conservatoire entre les mains de la RGE).
>
> De plus, en mars 2013, M. Njanga Njoh déposera une plainte au tribunal
> contre moi, mon épouse et mon fils ainé au motif que nous aurions
> indûment perçu de la République de Guinée Équatoriale les fonds issus
> de l'indemnisation de la CBGE.
>
>
>
> En fait, le seul et réel but de toutes ces actions en justice dont
> l'Administrateur Provisoire sait pertinemment qu'elles n'ont aucune
> chance de prospérer si seul le droit est appliqué, est de:
>
> Retarder le plus longtemps possible la disponibilité des fonds en
> provenance de ta République de Guinée Équatoriale afin de maintenir
> les pertes de la CBC à ce niveau inquiétant qui permettra la
> validation de son plan de restructuration, rendant impossible pu
> tardive toute injection d'argent frais pour le redressement de la
> banque avec conservation de leurs actions par les actionnaires
> historiques et majoritaires.
>
> Permettre aux deux avocats Me Irenée Ntamaçk Mpondi et Me André-Marie
> Owono recommandés par Monsieur Lazare Essimi Menye l'ancien Minfi avec
> lesquels la Cobac et lui (comme dans le dossier Amity Bank où la Cour
> de Justice de la Cemac a condamné l'Etat du Cameroun et la Cobac au
> profit des actionnaires spoliés), "auraient" des arrangements
> personnels, pour facturer à prix d'or leurs interventions pourtant
> inutiles compte tenu de la prédisposition de la majorité des débiteurs
> payer "sous condition d'aménagement" ce qui est du à la CBC.
>
> En page 14 de son plan de restructuration, M. Njanga Njoh reconnaît et
> déclare sans équivoque que la CBC a des bases solides et il affirmait
> que seules les importantes provisions ont grevé son bilan. De
> surcroit, la CBC devrait dès 2013-2014 dégager un bénéfice minimum
> annuel de FCFA 4.500 millions. Pourquoi donc, si ce n'est pour des
> raisons personnelles, dépouiller les actionnaires historiques et
> majoritaires de la CBC, en procédant à un coup d'accordéon sur le
> capital pour lequel les actionnaires sont privés du droit de souscrire
> à hauteur de leur droit irréductible, alors qu'il suffirait de faire
> voter par l'assemblée générale une résolution stipulant que les futurs
> dividendes serviront prioritairement à l'apurement du passif transféré
> à la société de recouvrement de des créances ?
>
> L'Administrateur Provisoire, en Violation du droit à la communication
> des actionnaires, reconnu par les articles 525, 526,527 et 528 du
> traité OHADA, a dans un premier temps refusé de transmettre aux
> actionnaires qui en ont fait la demande, le détail des Fcfa 513 988
> 368 versés en 2012 aux dirigeants sociaux et salariés les mieux
> rémunérés de la CBC (Pièce n°13 lettre de demande à l'AP des
> informations légales aux actionnaires et ses refus communiquer le
> montant global et détaillé des honoraires et frais payés aux avocats
> et huissiers de justice en 2010, 2011 et 2012 (Pièce n°14, lettre de
> demande à l'AP des informations légales aux actionnaires et ses
> refus).
>
> Communiquer le montant global et détaillé des honoraires et frais
> payés aux cabinets d'experts ou/et de consultants en 2010, 2011 et
> 2012. (Pièce n°15, lettre de demande l'AP des informations légales aux
> actionnaires et ses refus).
>
> En fait, M. Njanga Njoh refuse de donner des explications sur les
> charges qui ont grevé le résultat d'exploitation au 31 décembre 2012
> de sorte que pour un bénéfice de Fcfa 2.000 millions annoncés en mai
> 2012 dans le plan de restructuration, la banque en soit arrivée à
> solliciter l'approbation des comptes û l'Assemblée Générale du 21 mars
> 2013 avec un résultat de seulement Fcfa 314 033 178 dans les comptes
> définitifs, soit à peine 15% du bénéfice pourtant annoncé en milieu
> d'exercice 2012 !!!
>
> Soit il y a un problème de compétence, soit une volonté de tromper les
> actionnaires! Dans les deux cas, quelle crédibilité accorder Monsieur
> l'administrateur Provisoire de la CBC, et comment expliquer le soutien
> indéfectible de la Cobac et du Ministre des Finances agissant en sa
> qualité d'Autorité Monétaire? Mr Njanga Njoh a-t-il volontairement
> communiqué de fausses informations à l'administration fiscale
> concernant sa société CNN Consulting ?
>
> M. Njanga Njoh a-t-il déclaré M. Njanga Njoh a-t-il déclaré et payé
> aux fisc ses impôts sur le revenu faramineux de près d'un (01)
> milliards KEA sur les quatre derniers exercices fiscaux? Si la réponse
> est non, que penser de sa moralité pour sa nomination en tant que
> Directeur General de la CBC en juin 2009, puis administrateur
> provisoire à la tête de la CBC par la même Cobac qui l'avait
> "chaudement" recommandé au Conseil d'administration de la CBC, que je
> présidais alors, en mai 2009 ! Peut-on encore parler de "...Thé wright
> man at the wright place..." comme le déclaraient les délégués du
> personnel lors d'un de leurs discours flagorneur du ler mai, fête du
> travail ?
>
> Mesdames et Messieurs, personnel de la CBC, voici ce que je souhaitais
> que nul n'ignore avant que mon destin ne s'accomplisse demain, ou dans
> le temps que le Dieu qui est seul juste juge décidera.
>
> Je voulais que vous sachiez, les 80% d'entre vous que j'ai
> personnellement embauché, auxquels j'ai permis d'obtenir la
> reconnaissance et des salaires d'expatriés (ce qu'aucune banque de la
> place ne vous accordait avant la (CBC), que je ne vous ai à aucun
> moment trahi.
>
> Il était-simplement écrit qu'après Amity Bank et le pauvre Sielenou
> Christophe, Cofinest et M. Kamdem, je serai la prochaine victime de la
> cupidité de l'Administrateur Provisoire et de ses acolytes du
> Ministère de la Finance et de la Cobac mais je ne suis point
> fataliste. Je crois donc qu'à moins qu'on ne m'hôte la vie en prison
> la vie en prison, que justice finira par m'être rendue, ainsi qu'à
> tous les actionnaires historiques et majoritaires de la CBC.
>
> J'ai la Foi, le parcours et la vie tout court de feu Nelson Mandela
> sont un enseignement. Quel que soit l'issue de ces batailles, je vous
> souhaite bonne chance et surtout comme Nelson Mandela, ne vous laissez
> pas asservir.
>
> Yaoundé le 12 décembre 2013
>
>
> On 12/16/13, Sismondi Barlev Bidjocka <sismondi2@yahoo.fr> wrote:
>>
>>
>> ESSIMI MENYE BRAQUE LA CBC
>> Je vous propose ici un extrait de l'émission
>> dimanche Midi de la CRTV où Essimi Menye est l'invité permanent. Elle
>> date
>> du
>> 06 novembre 2009. Le Ministre déclarait alors que la CBC n'appartient
>> plus
>> aux
>> Fotso. On était alors loin d'imaginer la stratégie mise en œuvre pour
>> bousiller
>> le bien des Fotso
>> ECOUTEZ ÇA
>> http://rjcpatriote.centerblog.net/1326-essimi-menye-braque-la-cbc
>>
>> Sismondi Barlev Bidjocka
>> Journaliste ÉditorialisteÉcrivain
>> Porte-Parole de la jeunesse Camerounaise
>> Pdt de l'association de la presse diplomatique camerounaise
>>
>> Pdt de l'association des bloggers du Cameroun
>>
>> Tél : 00 237 77 85 89 19
>> Dom: 00 237 22 17 70 89
>> mail: sismondi2@yahoo.fr
>>
>> --
>> - Pour s'inscrire à ce groupe, envoyez un e-mail à
>> 237medias+subscribe@googlegroups.com , et répondez ensuite (de
>> préférence
>> par email) au mail de confirmation que vous recevez.
>> Cette procédure a été testée, et fonctionne. Si vous ne recevez pas le
>> mail
>> de confirmation de confirmation, renvoyez un autre mail.
>>
>
>
> --
>
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> The thing always happens that you really believe in; and the belief in
> a thing makes it happen.
>
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