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Thursday, January 3, 2013

Re: Cameroon JOURNALISTS at WAR with each other /// L' honneur perdu des journalistes Kmers?

Me, as far as this brouhaha amongst Cameroon Journalists is concerned, I agree intoto with Olivier Fok,s position.
He knows Goukouni AKA Goni Waday is Jean Baptiste Ketchateng of SOPECAM. So to solve this ever present disease amongst Francophone Journalists of hiding behind fake names to cause havoc, he decides to take matters into his own hands. Olivier  Fork(who? ...na which kain name dis sef) gives Goukouni (Goni) Waday Ketchateng a Rendez-Vous at the famous bar near Brasseries du Cameroun in Yaounde..."Retrouvons nous devant ce buistrot au lieu de te cacher derriere l,ecran pour insulter tout le monde. J,en ai marre. J,ai donc invite CRTV, SIANTOU TV, EQUINOX , RFI, CFI, BBC, CAMERBE, Camerooninfonet et les autres capos de la presse a etre temoins. Si tu portes les vraies (so some no be les vraies) Testicules (habaa...Kanass ana Njang Mbin?) et tu es a la hauteur de tes injures publiques, je suis deja au lieu de RV. Et pour te montrer de quoi je parle, regarde bien dans ton sale bureau avant de sortir  me retrouver, ce petit video." Cameroon Tribune c,est meme quel Jounal? Un truc que meme distribue NJOH dans les Ministeres, personne n,ouvre. Je t,attends ici dehors. Today Na Today. Man No Run.
 
 
That is how in 2013, we are supposed to solve recalcitrant elements in our community. Time for niceties is over. 2013 is the decisive year for Cameroonians to break it or leave it alone. Olivier and Jean Marc Soboth, you have my solid endorsement for this noble fight. If you need Pershing II, Tomahawk Misiles, Dragon Fire Mortars, MK47 Strikers even M109 Hotwizer Lethal dose destroyers for this epic battle in front of SOPECAM with that dreaded online gangster; just say so and I will send it pronto via DHL or Money-Gram...even by skype. Yes, Trop c,est Trop.
 
Happy New Year to everyone.
 
Mishe Fon

From: agendia aloys <agendiaaloys@yahoo.com>
To: "cameroon_politics@yahoogroups.com" <cameroon_politics@yahoogroups.com>
Sent: Thursday, January 3, 2013 11:30 AM
Subject: Mr Bedzingui Re: [cameroon_politics] MM. Roufaou et Azebaze.../ L' honneur perdu des journalistes Kmers?
 
Let me help you out.
If you don't want to receive a mail from someone, you do not need to spam the person. This is because some of your important mails can be still directed to your spam box. Hence, when you go  there you will still see the person you never wanted.
 
The easiest and best thing to do is to BLOCK them. How do you do this?
 
Click on options, go to mail options, click on block address. Type the email of the person and click on add.
From that moment,  you will NEVER receive emails from that person(s).
 
I have blocked a number of people too like Pat10 for insults but also blocked others for their constant multiples postings which make my mail box too crowded.
 
I hope that helps. But, i thought you said you were leaving CP for good?
Welcome back then.
 
agendia
 

It does not suffice to believe in change, we must believe in ourselves to effect the  change needed. ( Agendia Aloysius)

visit me here...  
http://agendia.viviti.com/

"Intelligence is not necessarily   the explanation of complicated concepts and phenomena. I strongly believe, it is more of our ability to translate these concepts in a way that will change human life in the positive direction. It is  about being pragmatic." AGENDIA Aloysius

AGENDIA Aloysius

http://agendia.jigsy.com/
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From: Goni Waday <goni.waday@gmail.com>
To: cameroon_politics@yahoogroups.com
Sent: Thursday, January 3, 2013 9:17 AM
Subject: Re: [cameroon_politics] MM. Roufaou et Azebaze.../ L' honneur perdu des journalistes Kmers?
 
Quel dommage M. Bedzigui, mon punching ball préféré. Pourquoi partez-vous si vite? J'ai une demande à vous faire. Parmi vos "bons journalistes", y en a deux qui menacent de s'étrangler mutuellement à cause du bifteck des Etats généraux. Pourriez-vous nous en dire plus? Par ailleurs, il serait intéressant de voler au secours de Soboth qui semble hésiter à poursuivre la bagarre. Je note enfin qu'à peu de choses près, tous vos amis dans le journalisme traînent comme leur ombre des scandales (vols, mensonges) qui ont ému le public. Ceci expliquerait-il cela? Enfin pour qui connaît votre appétit pour les milliards  appartenant à autrui.Ah! Que 2013 commence bien!
Le 3 janvier 2013 17:08, Celestin Bedzigui <celestin.bedzigui@ymail.com> a écrit :
 
 
Trouble dans mon repos par un si pestilentiel  vacarme ... je suis oblige de sortir de ma retraite...
 
@ M. Roufaou,
J' ai essaye de bloquer l' entree par effraction dans ma boite en les spamisant les demons qui se livrent a une danse frenetique et hysterique de l' insulte immonde et du mensoge sur ces fora... Sans succes... Pouvez vous me re-expliquer la manip, pour mon interet et ma tramquillite? Merci..d' avance...
 
@ M. Azebaze... SG d' un syndicat de journalistes...
A travers vous , je m' adresse a tous les journalistes francophones et anglophones confondus qui ecument les fora kmr et qui ont contribuent  a en abaisser le niveau tel qu' on le voit aujourd' hui...
 
Votre ''coup de gueule'', de il ya quelques semaines,  il vous souvient? Quelqu' un vous avait alors suggere de balayer devant votre porte...en invitant au respect d' un minimum de civilite et ...d' honetete intellectuelle,  lorsque mettant en avant leur qualite de journalistes certains  des '' votres'' prennent en essayant de la monopoliser la parole sur les espaces de conversation publique.... Tout le monde voit a quel niveau de decheance de la conversation certains de ceux parmi les votres  que vous avez un jour qualifie  de '' juste irreverencieux'' en couvant leur anonymat , ont conduit et entretiennent la conversation...  Y a t il plus honteux????
 
Et lorsqu' on   ne releve l' expression d' aucune indignation ou le rappel au respect du code d' honneur de la profession a l' egard de ceux qui vivent du deshonneur de l' insulte grossiere et du mensonge abject , y a t-il meilleure signe d' inconsistance ou de duplicite de ceux la qui sont les visages connus de leur corporation???... Un journaliste qui par son expression et ses postures constantes insulte, ment, defigure, travesti la verite,  sans etre rappele a l' ordre par ses pairs  expose au deshonneur toute la profession...
 
Et vous partagerez ma douleur devant un tel spectacle, lorsque me reviennent a l' esprit certains moments de ma vie ou j' ai  cotoye et frequente des journalistes, des vrais.... Pius Njawe, Henri Bandolo, Richard Touna et autres... Ils sont morts... Ne semble subsister par le bruits et le vacarme qu' ils entretiennent  que les '' irreverencieux''  journalistes ''du Hilton-du-mensonge'',  indignes de porter avec honneur le chasuble du ''plus beau metier du monde''... . Que dire de ceux qui les  '' couvrent''???? Le sel a perdu sa saveur...
 
Heureusement que subsiste les Soboth, Haman Mana, Sipa, Deutchoua, Messe, Ntiga...Une raison de ne pas perdre espoir....
 
Je rentre a ma retraite....
 
Bonne Annee
 
C. B.   

From: Olivier Fokam <olivier_fok@yahoo.fr>
To: "237medias@yahoogroupes.fr" <237medias@yahoogroupes.fr>
Cc: "237medias@yahoogroupes.fr" <237medias@yahoogroupes.fr>; cameroon_politics <cameroon_politics@yahoogroups.com>
Sent: Thursday, January 3, 2013 9:44 AM
Subject: [cameroon_politics] Injures publiques
 
Ketchateng/Goni

Faisons simple. Retrouvons nous devant l entreprise qui t emploi, la Sopecam.  Je signale que c est à un taxi de Mutations, face cami toyota. Tu m appelleras en face "cochon" et on s expliquera en garçons. Je te promets que nous aussi cette explication la. C est trop facile de se cacher derrière un mail pour insulter les gens. Tu l as déjà fait avec Julien chogwon et personne n avait réagi. Je considère cette insulte Comme publique. 

Je vais aussi deposer une plainte pour injure publique. Meme si le "le cochon" entend régler à sa manière cette affaire. 

Pour revenir à tes déclarations a la suite des "révélations" de Boby, je n ai rien a dire pour l instant. 

Envoyé de mon iPad
Le 3 janv. 2013 à 14:38, Goni Waday <goni.waday@gmail.com> a écrit :
 
Je tiens à partager les précisions suivantes, après quelques recoupements auprès des intéressés, pour vous montrer à quel point Soboth est pervers, méchant et très très bête. -Passons sur le prétendu licenciement abusif du cochon nommé Fokam, licenciement qui n'en était pas un. Notons que le prétendu syndicaliste Soboth fait l'impasse sur les faits graves mis à la charge de Fokam Gadourou. Ce détail est intéressant car plus tard, vous verrez comment en modifiant les faits de l'espèce, il aggrave le cas de Ketchateng, effectivement licencié plusieurs semaines avant, lequel licenciement, sur la base de mensonges, n'avait pas suscité son indignation, pour des raisons évidentes. -Soulignons que Gango, une autre bandit professionnel qui avait volé un ordinateur et d'autres biens sociaux au moment où Haman Mana quittait "Mutations" avec ses amis, n'avait jamais été connu comme syndicaliste. Suivez bien la démonstration. Haman quitte un journal et dit qu'il en est le proprio. Deux employés dudit canard dont un est une pure fabrication de Haman s'organisent pour le soutenir. Un responsable d'un syndicat dont on n'a jamais su à "Mutations" que Gango et Fokam étaient proches, pour ne pas dire adhérents, se fend d'un communiqué comme vu ci-bas. -D'autres personnes licenciées pour "motif économique" font juste l'objet d'un paragraphe alors que les responsables de la déliquescence de "Mutations" ie Haman et sa bande, sont défendus. Le syndicat défend donc des criminels contre les travailleurs ordinaires. -Revenant au cas de Ketchateng, Soboth, qui n'a demandé à personne ce qu'il se passe, écrit que Ketchateng a refusé de remettre un publireportage. Faux! Le publi en question est dans le journal longtemps avant le licenciement. Ce sont les mensonges de Alphonse Soh, vice-président du conseil d'administration, Taakam, représentant du personnel et autres qui font croire au Pca Ayangma que ce n'est pas le cas. Le publireportage est dans le journal et Ketchateng n'est pas payé mais licencié. Pire, au moment où la crise se déroule, Ketchateng, déjà licencié, renvoie un directeur de l'Arsel (qui avait commandé le premier publi et en sollicite un deuxième) auprès de Batongue. L'Arsel sollicite en effet un nouveau publi et se "satisfait" du premier. Par ailleurs aucune action judiciaire n'avait été intentée. Même l'Inspection du travail n'avait point été sollicitée. Mensonge sur toute la ligne. Idem quand il dit que le travail de Ketchateng mettait en cause Soh. Un mensonge abracadabrant. -Plus on avance, plus ce criminel ment. Tout le reste en effet est teinté de manipulations grossières et hors de propos. Il dit que Gango qui avait publiquement expliqué qu'il soutenait Haman lors d'une conférence de presse au Hilton de Ydé, ne pouvait réclamer ensuite une lettre de licenciement.
Le 3 janvier 2013 09:48, Christophe Bobiokono <cbobio@yahoo.fr> a écrit :
 
Ci-dessous, un tissus de contrevérités mises à la disposition de la planète (suivra la réponse de Alain Blaise Batongué au mauvais syndicaliste....)
Est-il fier de son œuvre?

Rapport social circonstancié du groupe South Media Corporation S.A. Juillet 2007
 
La situation sociale au groupe South Media Corporation, SMC, société anonyme éditrice du quotidien Mutations et de l'hebdomadaire Situations, issue de la récente restructuration et de la démission du directeur de publication, Magloire Pépin Haman Mana (le 16 juillet 2007) préoccupe toujours, au plus haut point, le Syndicat National des Journalistes du Cameroun (SNJC).
 
Directeur de la communication et du marketing de la South Media Corporation, notre collègue Olivier Fokam a été licencié abusivement du groupe le 22 juillet, contre toute attente.
 
Les faits. Dimanche dernier, 22 juillet 2006, il pense bien faire en se rendant à Yaoundé pour rencontrer M. Magloire Pépin Haman Mana, l'ancien directeur de publication démissionnaire du quotidien Mutations, dont il ne savait pas qu'il était désormais interdit de visite de la part de ses anciens collaborateurs. Il veut tenter, à la suite de plusieurs messagers de la nuit et autant de médiateurs quelquefois peu inspirés ou souvent trop hautains, de convaincre M. Haman Mana d'accepter une autre médiation. Ce dernier lui ouvre les portes de son domicile, déjeune avec lui, entend son message de paix, écoute, toute ouïe, certaines préoccupations de M. Protais Ayangma Amang, se montre même passablement attentif à l'idée d'une discussion avec le Pca de la SMC.
 
M. Haman Mana remercie son ancien collaborateur à la SMC, promet qu'il reste à l'écoute, se réserve de commenter le choix de M. Fokam de ne pas le suivre dans son combat.
 
Le sieur Olivier Fokam s'en va. Là, le téléphone de M. Haman Mana sonne. A peine une heure après le déjeuner. C'est un Sms. M. Olivier Fokam y exprime sa douleur. Il ne comprend pas que, à peine sorti de cet entretien, Alphonse Soh, vice-président du conseil d'administration de South Media Corporation, lui annonce sans préavis son licenciement. Haman Mana est tout aussi abasourdi. D'une part, que le sieur Alphonse Soh soit au courant de cette rencontre. Et, d'autre part, que le vice-président de la Smc envisage de licencier l'un de ses collaborateurs sur le seul fait que celui-ci ait eu une démarche constructive, visant à rapprocher deux camps, au détriment de certains intérêts dont les intensions de butter un ancien « ami » n'ont plus besoin de lampadaires pour éclairer un certain manque de tact.
 
Informé de la situation, le responsable régional SNJC pour le Centre, M. Thiery Gervais Gango, joint M. Fokam. Abattu, il n'aurait pas pu dire davantage qu'il ne comprenait pas. Qu'il ne comprenait rien. Il n'était pas non plus au courant que M. Haman était filé et surveillé, chez lui, par un sbire.
 
A Douala où il est retourné lundi dernier, deux contacts à la représentation régionale dudit quotidien ont confirmé le fait d'une situation que M. Olivier Fokam n'a pas pu dire : il est définitivement suspendu de ses fonctions, avec interdiction de franchir les portes du Desk de Douala où se trouvent ses bureaux.
 
La situation de cet auxiliaire du journalisme à la South Media Corporation rappelle celle, somme toute préoccupante, d'autres collègues dont la fidélité serait contrainte, au moyen du chantage, alors que dans nombre de cas, ils venaient d'être limogés abusivement sans raison, sans indemnités, avec pour seule motivation que « les licenciements et les nouvelles classifications ne sont pas négociables »  - d'auprès le propos de M. Protais Ayangma à un collègue qui voulait simplement comprendre comment il était possible de décider unilatéralement du sort de journalistes sous contrat.
 
Grâce à la crise en cours, notre confrère Jean-Baptiste Ketchateng a été rappelé in extremis alors que M. Alphonse Soh, le vice-PCA, avait décidé de le remercier. Motif: il avait refusé de déposer le texte d'un publi-reportage, arguant que, d'une part, une résolution du Conseil d'administration interdisait aux journalistes d'en réaliser et, d'autre part, qu'il ne le ferait avant le paiement de « frais techniques » qui obligeraient très rarement la direction de cette entreprise. Il serait revenu, après avoir initié, au lendemain de son licenciement, une action judiciaire en licenciement abusif contre la SMC.
 
En même temps que M. Jean-Baptiste Ketchateng, M. Léonard Damou (comptable de la SMC) a lui aussi été licencié au lendemain du dernier Conseil d'administration. Notre confrère n'en aurait guère été notifié parce que, pensent certains collègues, la mise en cause de son travail pourrait faire interpeller la responsabilité de M. Alphonse Soh, Directeur délégué de la SMC et responsable administratif et financier à partir de 2003 (l'audit ayant concerné la période 2003-2006). M. Damou a refusé de s'exprimer sur la question. Au siège de la SMC où il se présentait tous les matins jusque-là, il n'a plus accès à quelque dossier que ce soit. Il semble qu'il ne soit toujours pas situé sur sa situation. D'autres sont dans la même fragilité psychologique que lui.
 
Après six (6) ans de leurs bons et loyaux services à la société, le Conseil d'administration de la SMC avait chargé M. Haman Mana, à l'époque où il était encore directeur de publication, de notifier à d'autres collègues et à notre consoeur Laurentine Assiga une série de licenciements. Ce qu'il aurait refusé de faire, le leur annonçant uniquement de vive voix. Appelée à revenir au moment du déclenchement de la crise le 16 juillet dernier, notre consoeur Assiga a subséquemment décliné l'offre.
 
Nos collègues Diamoun Moussa (Documentaliste), Gaëlle Moudio Ndedi, M. Venant Mboua et M. Francky Bertrand Bene, journalistes, ont été, eux aussi, remerciés sans ménagement par la direction de la SMC. Pour, avance-t-on sans prendre le risque de le dire ou de l'écrire, « raison économique », sans préavis ni négociation. A ce jour, ils seraient non seulement tournés en bourrique au quotidien par le Directeur des affaires financières et de la logistique, M. Bassangna (proche parent de M. Ayangma et auditeur commis par la SMC), mais encore, ne connaissent toujours pas jusqu'au montant de leurs indemnités de licenciement.
 
Le dernier Conseil d'administration avait aussi décidé de la relégation, unilatéral et sans notification, de certains journalistes qui ont été rappelés à la sauvette il y a quelques jour, grâce à la crise.
 
Avant d'être sommés de reprendre activement part à la réalisation du quotidien de la SMC, sans précision aucune sur le contenu de ce nouvel engagement contractuel, nos confrères Marion Obam, Lazare Kolyang, Jean Bruno Tagne, Dieudonné Gaïbaï, Emile Nde Tchoussi et Jean Eric Bélibi, journaliste au sens du contrat qui les engageaient jusque-là, avaient, en effet, été confinés au rang de « pigistes agréés », un statut jusque-là inconnu dans la presse.
 
Enfin, sur une sommation d'huissier inspirée par M. Emmanuel Gustave Samnick, nouveau directeur de publication du magazine Situations, ce dernier accuse Thiery Gervais Gango, le rédacteur en chef - et créateur - dudit magazine du vol d'un ordinateur que la South Media Corporation a refusé de récupérer (voir exploit d'huissier joint).
 
Notre collègue Thiery Gervais Gango a, ainsi, appris qu'il ne faisait plus partie des affectifs de la SMC, sans que la direction de l'entreprise ne l'en ait informé expressément. Le
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