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Tuesday, December 1, 2015

FECAFOOT: Ces MINISTRES qui veurlent enterrer le FOOTBALL Camerounais

 



FECAFOOT : CES MINISTRES QUI VEULENT ENTERRER LE FOOTBALL CAMEROUNAIS

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Ministres football
Ils sont une demi-douzaine de membres du gouvernement qui mouillent le maillot et usent de pratiques détestables pour faire main basse sur le football camerounais et le contrôler à travers une marionnette nommée Tombi à Roko.
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Pierre Ismaël Bidoung Mkpatt : Parti du Ministère des Sports en 2004 suite au scandale du maillot UniQt dans lequel il était empêtré et qui avait valu au Cameroun une suspension éphémère suivie d'un retrait de 6 points à l'entame des éliminatoires de la Coupe du Monde 2006, l'on pensait que Bidoung Mkpatt aurait retenu la leçon. Que non ! A peine revenu, le voilà qui retombe dans ses mêmes travers. Mercantilisme, trafic d'influence, parrainage des siens et compromissions sont ses principales tares. Les Lions indomptables étant sa principale vache à lait, dès son arrivée, il a imposé André Nguidjol comme Coordonnateur général. Ce même André Nguidjol qui avait quitté le poste de Directeur administratif des équipes nationales sur un scandale de primes détournées et avait été poussé à la retraite avant d'être récupéré par…Bidoung Mkpatt au Minjec où il lui a offert le poste de « consultant en administration », sans que l'on sache exactement ce que cela signifie. Sentant Tombi à Roko fébrile suite à son élection annulée, Bidoung l'a pris sous son aile, moyennant, on connait bien la bête, quelques subsides, comme du temps de Mohammed Iya. C'est ainsi qu'il y a deux semaines de cela, Bidoung Mkpatt a commis un communiqué de presse par lequel il validait les élections à la Fécafoot et renvoyait la CCA dans les cordes, elle qui avait rendu une sentence basée sur les textes et la loi Camerounaise. Par un simple communiqué donc, Bidoung Mkpatt a voulu remettre en cause la sentence d'une Chambre instituée par une loi adoptée par l'Assemblée nationale et promulguée par le Chef de l'Etat. Une hérésie qui n'a pas prospéré, mais sur laquelle s'appuie malheureusement Tombi à Roko pour rester illégalement à la tête de la Fécafoot. Mais pour combien de temps ?
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René Emmanuel Sadi : Depuis le départ de la crise post Iya en 2013, le Minatd est présenté par tous les proches de Tombi à Roko comme tant son « protecteur », son « parapluie », celui qui, contre vents et marées, devait installer Tombi sur le trône de la Fécafoot. Et même si René Emmanuel Sadi dit à qui veut l'entendre qu'il ne connait pas personnellement Tombi à Roko, nous sommes en mesure d'affirmer qu'il l'a rencontré au moins deux fois à son domicile. Il faut rappeler que c'est R.E. Sadi qui était à l'origine de la mise sur pied du comité de normalisation dont le président, Joseph Owona, avait pour principale mission d'amener Tombi jusqu'au fauteuil de président de la Fécafoot. S'il est très discret et qu'il ne s'affiche pas en public avec Tombi à Roko comme certains, René Emmanuel Sadi est l'un des principaux soutiens dont l'ancien SG de la Fécafoot se prévaut.
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Basile Atangana Kouna : Si l'on parle du ministre Atangana Kouna et de l'ancien Sg de la Fécafoot, la relation est difficile à établir entre les deux hommes. Mais si on précise que le ministre est le Président du Conseil d'administration de Renaissance de Ngoumou, alors les choses deviennent plus évidentes. Surtout si on sait les liens étroits qui existent entre Tombi à Roko et ce club créé par Jean Baptiste Nguini Effa. Plusieurs joueurs passés par ce club avant de partir vers l'étranger l'ont fait sous la contrainte du SG-Fécafoot. Ce dernier a d'ailleurs manœuvré, trois saisons de suite, pour que Renaissance de Ngoumou se sauve à la toute dernière journée, au détriment de clubs qui méritaient sans doute mieux. Rien d'étonnant donc à ce que basile Atangana Kouna mouille le maillot pour son protégé Tombi à Roko, au point de faire détacher la femme du Sg Fécafoot au Minee où elle a en charge les licences des stations services, elle qui n'est que professeur des Lycées d'enseignement technique. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que Tombi à Roko le lui rend bien par ailleurs. Ainsi, parmi les premiers stades que la Fécafoot dit vouloir construire, se trouve celui de Ngoumou. Et en lieu et place du maire de la ville, c'est Atangana Kouna qui s'est pointé à la signature des conventions entre la Fécafoot et les municipalités. Personne n'a oublié que lorsqu'il a fallu bagarrer pour que le passeport de Tombi à Roko lui soit restitué, c'est Basile Atangana Kouna et Louis Paul Motaze qui se sont jetés à l'eau. D'habitude très discret, l'ancien DG de la SCDP évolue désormais à visage découvert et fait partie de cette clique de membres de gouvernement qui utilisent le noms du Chef de l'Etat à tort et à travers pour intimider des tiers et atteindre leurs objectifs.
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Louis Paul Motaze : Si au départ il n'est pas un fan absolu de Tombi à Roko, l'ancien SGPM a dû s'y faire et dans sa volonté d'installer son beau-frère sur le fauteuil de 1er vice-président de la Fécafoot, il a fini par pactiser avec l'ancien Sg-Fécafoot. C'est lui qui, dans l'ombre, a tiré les ficelles des affaires de la Fécafoot depuis 3 années. C'est lui qui est allé à Zurich au siège de la Fifa prendre l'engagement devant les responsables de la Fifa de venir faire changer une loi de la République pour assurer l'élection de Tombi à Roko à la tête de la Fécafoot. C'est également lui qui est à l'origine de ce fameux consensus inique qui a aboutit au partage du gâteau Fécafoot entre les fossoyeurs d'hier, au détriment des vrais acteurs de ce football. Sa rétrogradation de SGPM à Ministre de l'Economie pourrait apparaître comme une sanction pour ses actes et actions maffieuses pour le malheur du football camerounais. Néanmoins, malgré cela, il continue d'afficher son soutien à un « président » élu sur la base des textes annulés par une Chambre instituée par une loi adoptée en assemblée nationale et promulguée par le Chef de l'Etat. A croire que ceux qui se disent les plus proches collaborateurs de Paul Biya sont ceux-là qui piétinent les lois du Cameroun.
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Paul Atanga Nji : Lui, c'est le barbouze de la bande. L'homme des basses et sales besognes. C'est lui qui est dépêché de manière expresse à Bamenda par Mbarga Mboa pour aller intimider et apeurer John Begheni Ndeh. Et 5 heures durant, il va, au nom soi-disant du DGPR Ngoh Ngoh, séquestrer le 1er vice-président de la Fécafoot pour que celui déclare ne plus être intéressé par les affaires de la Fécafoot. Flanqué du journaliste de Cameroon Tribune, d'un reporter de CRTV Nord-Ouest et d'un Cameraman, il va demander au DG de la Mideno de faire une déclaration dans ce sens. Ce que John Ndeh va refuser, ne concédant finalement qu'une déclaration manuscrite et au conditionnel, qui sera par la suite déformée pour faire dire à John Ndeh des choses qu'il n'a jamais clairement dites. C'est également lui qui, lors de la finale de la Coupe du Cameroun, alors que l'exécutif de la Fécafoot a été exclu par le protocole d'Etat, va faire passer Tombi à Roko pour le président de la commission d'organisation de la Coupe du Cameroun (Abbo Mohamadou en réalité), dans le seul but qu'il salue le Chef de l'Etat. La photo de ce scandale sera d'ailleurs mise sous embargo jusqu'à la maladroite fuite de vendredi dernier, organisée par les communicants de Tombi à Roko. Un temps aux portes de Kondengui pour divers motifs tous moins élogieux les uns que les autres, Atanga Nji continue pourtant de sévir.
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Grégoire Owona : Son rôle est plus que flou dans cette affaire mais plusieurs informations puisées à bonnes sources font état de ce que le Sg adjoint du Comité central du RDPC aurait été mis à contribution par Bidoung Mkpatt et Mbarga Mboa qui ont voulu utiliser la fibre du parti des flammes pour finir d'intimider un John Ndeh qui ploie sous la pression ces dernières semaines. Celui qui rêve tout haut depuis des années d'être un jour ministre des Sports n'est jamais très loin lorsqu'on parle de sport en général et de football en particulier. Mais s'il a souvent été jugé très affable et plutôt avenant, il a ces derniers jours été plus impliqué dans des faits de trafic d'influence ou d'intimidation.
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Philippe Mbarga Mboa : Comme à son habitude, chaque fois qu'on parle d'argent dans le football, Philippe Mbarga Mboa n'est jamais très loin. Notamment lorsqu'on parle de football et des magouilles liées à ce sport. C'est Mbarga Mboa qui, selon nos sources a obtenu de l'argent de Tombi à Roko et qui a quasiment mis en mission Atanga Nji à Bamenda pour aller intimider John Begheni Ndeh. Cet ancien Minsep qui a été éclaboussé il y a une dizaine d'année par le scandale des primes détournées de Yannick Noah est de ceux là qui ont proposé Joseph Owona comme président du Comité de normalisation, avec les résultats que l'on sait.
Et aussi : Outre ces six ministres dont les pratiques sont détaillées plus haut, il faut déplorer la candeur du SGPR Ferdinand Ngoh Ngoh qui n'a jamais réussi à mettre de l'ordre dans les affaires du football. Au contraire, à certains moments, comme sous la présidence de Joseph Owona, il a même été de ceux qui n'ont pas aidé le football à se doter de textes et d'un exécutif légitime et légal en couvrant toutes les frasques du Comité et en fermant le yeux sur les multiples violations des lois dont ce comité s'est rendu coupable. A côté de cela, l'on retrouveSéraphin Fouda, autre « parrain » de Tombi A Roko qu'il a toujours soutenu. D'ailleurs, plusieurs proches de l'ancien SG Fécafoot ont accueilli avec chants et cris la nomination de ce personnage au Secrétariat général des services du Premier Ministre. Il y a enfin Hamad Kalkaba Malboum, le président du Comité national olympique et sportif du Cameroun qui n'a cessé ces dernières semaines d'afficher son soutien à un exécutif « élu » sur la base de textes annulés par la CCA qui est logée au…Cnosc. Le président du CNOSC s'est même ridiculisé à la radio nationale en prenant le parti de la Fécafoot au détriment de la CCA qui est pourtant une juridiction aussi légitime que légale.
René Mouandjo

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