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Sunday, March 27, 2016

Re: DEATH OF QUADRUPLETS AT YAOUNDE CENTRAL HOSPITAL...No Incubator even in Chantal Biya Foundation

Correction :" it is high time we STOP begging for external validation'.



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On Mar 27, 2016, at 12:52 PM, 'pascal kiwopa' via ambasbay <ambasbay@googlegroups.com> wrote:

It is high time we start begging for external validation!! We should start looking for African solutions. We should start trusting and believing in ourselves. The time is slowly coming when it will not be business as usual where puppets are placed on seats and used to syphon our resources.
 This prophet is crying out in the wilderness waking Africans up. Watch PLO Lumumba speech below.
http://m.youtube.com/watch?v=v9DmzxbX79g



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On Mar 27, 2016, at 9:04 AM, Nyangkwe Agien Aaron <nyangkweagien@gmail.com> wrote:

The Chantal Biya thing is a place where "renown" Physician Luc Montagnier visited
 a some years ago.
One can now understand why the French refused to meet Professor Anoma Ngu who was very much involved in HIV/AIDS research.
Those in the West only recognize those of us who are fake and "work to deliver in our African countries". They keep the real ones for themselves and bludgeon or push to the abyss the couragious ones who dare return and try to something

AN

2016-03-26 2:25 GMT+01:00 solomon atanga <soloamabo@yahoo.co.uk>:
Dear all, please take some time and read the two' versions' 
Dear all take some time and read the two 'versions' on the circumstances leading to the death of 6 months old quadruplets (there are talks of even five of them) at the Yaounde Central Hospital March 25 2016.
The reports below were compiled by two independent persons. Please ignore their comments in te narrative and keep te substance…THE FAMILY OF A WOMAN AWAITING FOUR/FIVE KIDS IS ASKED TO RUSH TO AT LEAST 5 HHOSPITALS TO LOOK FOR AN INCUBATOR IN VAIN. EVEN THE CHANTAL BIYA FOUNDATION IS IN NEED OF INCUBATORS.
The story is worrisome as the Cameroonian people are yet to bury Monique Koumateke. Here comes again another sorid story.
We are waiting on the Minister and those who defend the indefendable to tell us where we went wrong as a people… 5 kids gone just like that.
 
Please read on….

AFFAIRE DES 4 DE L'HOPITAL CENTRAL DE YAOUNDE : LA VERSION DU COUPLE NKIMIH.
PAR CLAUDE ABATE
Il s'agit d'une modeste famille habitant un petit studio de 9m2 avec une seule chambre au quartier au quartier carrière à Yaoundé:
- Le mari, M. NKIMIH Alfred Anungho, 32 ans, CNI n°11588793 du 27 juillet 2013, électronicien de profession, originaire de Santa, départetement de la Mezam, Région du Nord Ouest.
- L'épouse dame NKIMIH née NCHI Honorine, 30 ans, CNI n°110435072 du 26 juillet 2010, enseignante de profession, originaire de Balikumbat
- Tous les deux déjà parents de 2 belles petites filles de 7 ans et 3 ans respectivement (en photo ci dessous)
LES FAITS (tel que rapportés par le couple et la famille):
A 3 mois de grossèsse Dame Nkimih se rend au Baptist Hospital de Etoug Ebe ds le cadre de ses visités prénatales. Au cours de cette visite, elle effectue sa première échographie. Sur la base de cette dernière, le médecin lui annonce qu'elle porte une grossesse de 3 enfants. L'hôpital lui fait aussi comprendre qu'au vu du cas délicat de sa grossesse (des triplés) et de la forte probabilité qu'elle accouche par césarienne, il vaut mieux qu'elle se fasse suivre par un médecin de l'hôpital central et qu'elle accouche mm labas car leur propre plateau technique est inadapté.
A 6 mois de grossesse, Dame Nkimih réussit à avoir le contact téléphonique d'un médecin en service à la maternité de l'hôpital central de Yaoundé par l'intermédiaire d'une de ses collègues (dame Nkimih est enseignante dans une petite école privée confessionnelle). Lundi 21 Mars dernier, elle appelle donc le médecin en question (elle n'a pas pu nous donner le nom de ce médecin car ne l'ayant pas retenu). Cette dernière lui donne rendez vous mardi 22 mars 2016 le lendemain à 13 h à l'hôpital central car dit-elle elle a cours en matinée au CHU. Ce mardi 22 mars au réveil dame Nkimih se sent très mal et de plus en plus mal à mesure que le temps passe. Mal à tel point qu'elle decide de rappeler plus tôt que prévu le medecin, lui fait part de son état de plus en plus inconfortable, le médecin lui demande donc de venir la retrouver au CHU. Dame Nkimih dont le mari est en déplacement et sait que sa femme n'est pas prêt d'accoucher, se rend immédiatement au CHU en compagnie de sa petite sœur autour de 9h. Arrivée au CHU, elle est brièvement examinée par le médecin qui se rend effectivement compte qu'elle ne va pas du tout bien et mérite une prise en charge immédiate et urgente. Elle lui précise qu'elle va demander son internement ou une repos forcé d'une semaine au moins à l'hôpital au vu de son état de fatigue. Seulement elle fait comprendre à dame Nkimih que n'ayant pas encore terminée son cours, elle ne peut partir avec elle mais que cependant elle va appeler son collègue sur place pour qu'elle s'occupe d'elle. Ce qu'elle fait. Elle appelle le Dr Fouedjio (le nom est confirmé sur le billet de sortie de l'hôpital ci dessous en photo). Les 2 soeurs arrivent donc à la maternité de l'hôpital central et après avoir traîné pendant plus d'une heure, dame Nkimih est finalement reçu par le Dr Fouedjio, lequel après l'avoir examiné lui fait savoir que son col est déjà ouvert et qu'elle doit tout de suite accouché sans autre forme de procès. Il est un peu plus de 11h30. Dame Nkimih s'inquiète car elle n'est pas prête matériellement (elle n'a mm pas une seule serviette avec elle) et sachant qu'elle est à seulement 6 mois de grossesse s'inquiète de la viabilité et de la prise en charge des enfants qu'elle porte en elle (jusque là elle croit toujours porter des triplés). Le médecin lui fait savoir que ce n'est pas à elle de lui apprendre à faire son boulot. Il décide de la placer tout de suite en salle de travail pour l'accouchement
Pendant ce temps la jeune sœur restée dehors subit déjà l'arnaque des infirmières de l'hopital qui lui soutirent déjà 15.000 FCFA sous prétexte des médicaments dont aura besoin sa soeur au moment de l'accouchement ainsi que d'autres petits sous. On fait aussi savoir que sa sœur devant donner naissance à des prématurés de 6 mois, les couveuses vont être indispensables pour leur survie mais que la maternité n'a pas d'éprouvettes disponibles. Elles lui recommandent de se rendre à la Fondation Chantal BIYA pour voir s'il y a des éprouvettes disponibles. Elle s'y rend immédiatement mais la fondation lui fait savoir qu'elle n'a qu'une seule éprouvette disponible à ce moment là. Elle demande si elle peut déjà réserver cette éprouvette. Elle revient vers les infirmières accoucheuses de l'hôpital central pour leur donner l'information et savoir si elle peut utiliser cette éprouvette pour les triplés. Ces dernières lui disent non et lui recommandent plutôt d'aller à l'hôpital Bethesda (hopital du Full Gospel Church nouvelle route Bastos). La-bas rien. Elle revient leur rapporter la nouvelle, on lui dit d'aller voir du côté du CHU. Au CHU rien. Elle revient on lui indique maintenant un centre de sante ou maternité à Ahala. Ne sachant pas où se trouve exactement le centre en question, elle abandonna (à ce niveau je n'ai pas pu retenir mes larmes car je n'arrive pas à comprendre comment c'est la famille qui devait se débrouiller autant pour trouver une couveuse). Je croyais faire un cauchemar en écoutant ces peripéties. A aucun moment d'après leurs dires, l'hôpital n'a tenté quoi que ce soit pour trouver des éprouvettes dans d'autres institutions hospitalières pr sauver ces enfants sachant pourtant très bien que la femme avait une grossesse multiplex et allait accoucher prématurément.
Pendant ce temps et dès 12h45 dame Nkimih se met à accoucher à l'intérieur. Et au lieu des triplés attendus, c'est 4 enfants qui sortent et mm un 5ème déjà mort. D'après le bulletin de sortie signé du Dr Fouelefack Florent que nous avons pu nous procurer: le 1er bébé sorti était de sexe masculin pesant 570 g, le 2è sexe masculin 600 g, 3è sexe masculin 600 g, 4è sexe masculin 700 g et un 5è mort. Nulle part, je dis bien nulle part, AFIN QUE NUL N'EN IGNORE, il n'est mentionné que les 4 enfants étaient déjà morts au moment de leur naissance. Dame Nkimih confirme d'ailleurs qu'elle voyait ses petits sortir bougeant et se remuant. Elle suppliait mm qu'on les trouve vite une couveuse pour les sauver car après leur naissance les enfants ont simplement été placés ds une sorte de récipient recouvert de plastique noire un moment dans la salle d'accouchement (exactement comme ds la photo publiée) et recouvert de serviettes. Puis elles sont sorties avec eux. Elle appela au secours le médecin qui lui fait savoir qu'il ne faut pas qu'elle dérange car lui il a fait ce qu'il a pu, il ne gère pas le reste.
A un moment la jeune sœur restée dehors (car toujours interdite d'entrée en maternité) s'est seulement vue remettre le "paquet" des bébés par les infirmières. Elle demande que je fais quoi avec les bébés, on lui dit "va la-bas avec eux et débrouilles toi pour les éprouvettes" (je vous assure qu'ici j'ai posé la question 1000 fois pr qu'on me confirme ces dires. Elle a confirmé 1000 fois. Pire à un moment une infirmière lui a mm dit: "si tu ne veux pas les prendre on va les redonner à ta sœur pour qu'elle les mange" (Non vous ne rêvez pas, vous avez bien lu et c'est EXACTEMENT ce qui m'a été reporté). Je lui ai demandé si elle est capable d'identifier ces 2 infirmières, elle m'a dit OUI.
Les enfants sont finalement morts à un moment dans ces va et vient abracadabrantesques et dignes d'un conte de vampires. La mère n'a revenu ses enfants que comme dans l'état de la photo publiée ds mon 1er post quand il a fallu qu'une de ses autres sœurs vienne récupérer ses enfants pour aller les enterrer (j'en pleure encore).
Dame Nkimih est restée hospitalisée de mardi 22 au Jeudi 24 Mars 2016 à 15h. Durant tout ce soutien, aucune parole réconfortante du staff de l'hopital, aucun soutien psychologique, aucune trace de Monsieur le Directeur de cet hôpital. Elle fait mm état des moqueries de certaines infirmières qui lui aurait surnommé "la princesse ratée" (d'après certaines indiscrétions il semblerait qu'une mère de quadruplés bénéficierait d'une prise en charge spécial ??? à vérifier). Le père, sieur NKIMIH revenu en catastrophe de sa mission le mercredi soir tenta en vain de rencontrer le Directeur de l'hôpital pour comprendre pkoi on n'a pas pu sauver ses enfants, ne put le faire car il était bloqué. Il se rendit mm ds les services sociaux croyant avoir une oreille plus attentive, on lui fit plutôt savoir labas qu'il doit mm s'estimer heureux que sa femme elle aussi ne soit pas passer. Le pauvre n'eut d'autre choix que de rentrer chez lui abattu avec sa femme non sans être acquitté en plus au préalable de divers frais officiels de l'hôpital (33.000 F au total). Tu perds tes 4 enfants et tu dois encore payer 33.000 F pour faire sortir ta femme. Ils sont rentrés desespérés chez eux à la carrière et l'affaire serait peut être passée comme une lettre à la poste si un proche de la famille pasteur d'église ne les avait recommandé de m'appeler après l'avoir fait lui mm.


HOSPITAL"S 'VERSION'

 
Voici apparemment ce qui s'est passé. "LCCLC:
AFFAIRE DES BEBES NKIMIH: NON A LA DÉSINFORMATION...

By Mathieu Youbi
Chaque semaine maintenant a son "scandale" dans nos hôpitaux. Le dernier en date est "l'assassinat" présumé de quadruplés par des médecins (encore eux) de l'Hôpital Central de Yaoundé qui aurait eu lieu ce jour. Ce qui est très étonnant est que même des personnes qui se distinguainet souvent par leur prudence et leur tempérance se sont versés dans le populisme et la désinformation. C'est à la mode. C'est dans l'air du temps. Pour etre "branché" ou taxé "d'intelligent" il faut insulter les médecins et le système de santé camerounais et les traiter de tous les maux. C'est extrêmement dangereux de diviser une societé comme c'est le cas en ce moment. 
QUE S'EST-IL RÉELLEMENT PASSE AVEC LES ENFANTS NKIMIH?
Dès le début de la publication du scandale, j'ai décidé au nom du REMEDIC (Réseau des Médecins de District du Cameroun), l'organisation que je dirige de me rapprocher de la bonne information. J'ai eu les 02 gynécologues en poste au moment des faits. Je ne citerai pas leurs noms pour des raisons de confidentialité. Voici leur version des faits:
1) Dame NKIMIH est effectivement arrivé ce matin en consultation prénatale. Elle se plaignait de douleurs pelviennes.
2) A l'examen clinique, le gynécologue constate que le col utérin de cette femmes est ouvert et complètement dilaté
3) L'age calculé de la grossesse en ce moment est de 20 semaines (il faut noter qu'une grossesse à terme compte 40 semaines)
4) Le diagnostic du gynécologue tombe: C'est un AVORTEMENT TARDIF INÉVITABLE! 
5) La seule solution est de l'admettre en salle de travail pour l'expulsion du contenu uterin
6) Âpres l'expulsion, on dénombre pas 04 fœtus, mais 05! Ce sont des quintuplés!
7) Les poids de ces fœtus oscillent entre 300 et 450 grammes avec APGAR=0 (c'est à dire avec une vitalité et une viabilité quasi-nulle)
8) L'Hôpital central a une maternité, mais le centre d'excellence de prise en charge des prématurés est la Fondation chantal biya située à un jeu de pierre de la maternité centrale. 
9) En attendant de trouver une place dans une couveuse, les prématurés sont généralement placés sous une lampe radiante (chauffante) pour qu'ils gardent la bonne température. C'est ce qui est fait, tout en tentant des gestes désespérés de réanimation.
10) les parents trouvent une couveuse à la fondation, mais les enfants sont déclarés morts.
11) Il est noter qu'a moins de 500 grammes les chances de survie de prématurés sont quasi-nulles. C'est à partir de 600 grammes qu'on commence à enregistrer des taux de survie de 10%
12) Tout cela a très bien été expliquée à la femme et les médecins sont surpris d'apprendre qu'il y a eu une telle répercussion de cette affaire sur les réseaux sociaux. Est ce la transmission entre le mari et la femme qui n'a pas bien marché? Le mari a t-il été tenté de se victimiser en raison de l'antimédicalisme ambiant?? Personne n'en sait rien. Actuellement la police et les renseignement généraux ont envahi la maternité centrale et les médecins vivent dans un inconfort psychologique qui sera probablement préjudiciable à la bonne marche de leur travail. Voici leur version des faits. Les autres ont le droit d'avoir la leur. Seule la justice doit nous départager si on considère qu'on est dans un état de droit. Mais on n'a plus le temps; Tout le monde est devenu procureur ou juge sur facebook. A ce rythme j'ai très peur pour l'avenir de mon pays... Peace!"
Extrait d un débat dans le forum LCCLC
 









 

Solomon Amabo A.

Journalist, MEdia  Consultant,

Johannesburg , RSA

Tel : +27 (0) 786270155

Email: soloamabo@yahoo.co.uk
Skype : solomon.atanga

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Aaron Agien NYANGKWE
P.O.Box 5213
Douala-Cameroon
Tel. 237 673 42 71 27








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