HURRY, US SUSPENDS military assistance bc OF SOUTHERN CAMEROONS, yeah, at the 895th GENERAL ASSEMBLY MEETING IN OCTOBER 9TH I059, SPEAKING FOR THE U.S.A. AT THE UNITED NATIONS, AMBASSSADOR CLEMENT J. ZABLOSKII,SAID 'THE U.S.A. HAD VOTED FOR RESOLUTION I350(XIII) AND STILL FINDS ITS PROVISIONS SATISFACTORY. THE U.S.A. CONGRATULATES THE PEOPLE OF THE SOUTHERN CAMEROONS FOR THEIR ACCESSION TO AUTO-DETERMINATION AS IT CONSTITUTES THE WILL OF THE POPULATION WHO WANTS TO RUN ITS AFFAIRS DEMOCRATICALLY". THE GOVERNMENT AND THE OPPOSITION PARTIES OF THE SOUTHERN CAMEROONS UNFORTUNATELY HAVE NOT COME TO AN AGREEMENT HOWEVER, THERE IS NO REASON TO DENY THE POPULATION OF THE SOUTHERN CAMEROONS A BRIEF, THE RESULTS OF A HURRIED CHOICE IMPOSED ON THE POPULATION OF THE TRUST TERRITORY WOULD BE CATASTROPHIC FOR THEIR POLITICAL FUTURE'..
On Saturday, July 22, 2017 9:39 AM, 'Pa Fru Ndeh' via ambasbay <ambasbay@googlegroups.com> wrote:
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Cameroun: Les Etats-Unis suspendent leur assistance à l'armée camerounaise
- Sat, 22 Jul 2017 10:01:44 +0200
- Correspondance
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Dans une correspondance adressée à Amnesty International le 11 juillet dernier, l'ambassadeur des USA au Cameroun indique que son pays a suspendu son appui aux militaires camerounais engagés dans la lutte contre Boko Haram à l'Extrême-Nord pour violations des droits de l'homme.
En octobre 2015, 300 soldats américains ont débarqué au Cameroun. Stationnés à Garoua (nord), leur objectif est d'assister le Cameroun dans la lutte contre la secte islamiste Boko Haram qui sévit à l'Extrême-Nord du pays. Mais cette collaboration a pris un coup.
En effet, réagissant à une correspondance à lui adressée le 23 juin dernier par le représentant Afrique centrale et de l'Ouest de Amnesty International, Alioune Tine, l'ambassadeur des Etats-Unis au Cameroun, Michael Stephen Hoza, dans un accusé de réception daté du 11 juillet 2017 a indiqué que les Etats-Unis ont suspendu leur collaboration avec les forces de défense camerounaises.
Le diplomate a cité dans sa lettre les unités du Bataillon d'intervention rapide (corps d'élite de l'armée) positionnées à Maroua Salak, Mora et dans la région de l'Adamaoua qui, d'après lui, ne bénéficient plus de l'assistance américaine.
Leahy Law
Michael S.Hoza explique dans sa correspondance que
les Etats-Unis veulent rester conformes au Leahy Law (loi leahy) qui fait interdiction au pays de l'Oncle Sam d'apporter une assistance à une armée étrangère accusée de violations des droits de l'homme.En effet, réagissant à une correspondance à lui adressée le 23 juin dernier par le représentant Afrique centrale et de l'Ouest de Amnesty International, Alioune Tine, l'ambassadeur des Etats-Unis au Cameroun, Michael Stephen Hoza, dans un accusé de réception daté du 11 juillet 2017 a indiqué que les Etats-Unis ont suspendu leur collaboration avec les forces de défense camerounaises.
Le diplomate a cité dans sa lettre les unités du Bataillon d'intervention rapide (corps d'élite de l'armée) positionnées à Maroua Salak, Mora et dans la région de l'Adamaoua qui, d'après lui, ne bénéficient plus de l'assistance américaine.
Leahy Law
Michael S.Hoza explique dans sa correspondance que
Dans un rapport rendu public en mars dernier sur l'état des droits de l'homme au Cameroun, les Etats-Unis avaient accusé le Bataillon d'intervention rapide, le Bataillon d'infanterie motorisée, la gendarmerie et la Direction générale de la recherche extérieure (services secrets camerounais) d'être responsables de violations des droits humains dans le cadre de la lutte contre Boko Haram.
Louis MBANGA, hurinews.com
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